MK. Lily Warhols 
+ about × PSEUDO : SUPERMAN × ARRIVÉE : 09/11/2012 × MESSAGES : 43 × AVATAR : K.STEWART × DISCLAIMER : TUMBLR
× ÂGE : TWENTY-FOUR YO × ACTIVITÉ : CHEF DE FABRICATION × AMOUR : WHAT'S THE FUCK × HABITATION : WAREHOUSE DISTRICT  |  Sujet: (M/LIBRE) HUGH JACKMAN Dim 11 Nov - 20:00 | |
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alvaro fernando acosta
we'll fall like angels if we lose what matters right back where we started fromnom entier :: alvaro fernando acosta. + âge :: trente-quatre ans. + date et lieu de naissance :: premier mai, Séville. + nationalité :: espagnole. + origines :: espagnoles. + études/emploi :: chef de chantier. + situation financière :: modeste. + ville d'habitation :: au choix. + statut amoureux :: veuf/célibataire. + groupe :: au choix. + avatar :: hugh jackman. DON'T ASK ME, I'LL NEVER TELLContrairement aux idées reçus, j'verrais bien Alvaro comme quelqu'un de réservé, pudique et modéré. Parlant peu et seulement lorsqu'il a quelque chose d'intéressant à dire. Pesant chaque mot avec soin, soucieux de la moindre tournure de ses phrases pour ne pas créer de confusion. Très soigneux ouais en somme. Un type respectueux du monde entier, beaucoup trop d'ailleurs, ce qui lui a valut pas mal de désillusions par le passé. Notamment avec la gente féminine mais ça je vous laisse le soin d'en faire ce que vous voulez! Dans la vie d'Alvaro, il n'y a de la place que pour une personne, il n'est donc pas le genre coureur de jupon, dom juan ou autre séducteur du dimanche. Ses conquêtes se comptent sur les doigts d'une main et c'est très bien ainsi. Je l'imagine bien se renfermer sur lui-même, ne pas laisser paraître la moindre de ses émotions, surtout lorsque son coeur est en jeu. Jouer l'indifférent, celui qui s'en fout royalement, un peu comme s'il cherchait à se protéger. Mais dans le fond ce serait un chic type, qui ne compte pas son temps pour venir en aide aux plus nécessiteux. Il a le coeur sur la main bien qu'il puisse faire homme des cavernes aux premiers abords. Si vous désirez plus d'informations n'hésitez surtout pas, ma boîte mp vous est ouverte!  | HISTORY IS MADE AT NIGHTAutant pour Edern j'ai un peu plus d'exigence, autant pour Alvaro c'est un peu à la bonne franquette. J'ai mis chef de chantier mais vous pouvez totalement mettre autre chose. Tout ce qui se passe avant sa rencontre avec Lily est libre. J'ai juste évoqué dans ma fiche de présentation le décès de son ex mais bon, vous en faites ce que vous voulez après. (a) Sinon... Suivre le lien qui unit les deux loulous et je n'en demande pas plus. ** |
cause it's you and me, and all of the people- Spoiler:
Je errais dans une rue inconnue de Séville, entourée par des étrangers à la langue différente. Je me sentais accueillie et rejetée à la fois, et curieusement cette sensation m'avait plu. Je m'asseyais sur une terrasse, commandais un café, le corps offert au soleil, paresseuse et enivrée. « Je peux vous offrir à boire ? » J'ouvrais un œil, puis deux, observant avec intérêt le nouveau venu. Je dirais... Dans les alentours de trente-cinq ans. Très bel homme de surcroît, le modèle parfait de l'espagnol viril et splendide. Toutefois Edern demeurait maître de cet organe dans ma poitrine, je me contentais d'admirer. « Faites, je vous en prie. »
Le soleil levait doucement son halo de lumière, amenant avec lui la tiédeur d'une journée prometteuse. Le corps emmitouflé dans un drap blanc, j'allais me poser près de la fenêtre, une cigarette à la bouche. J'observais cet homme endormi dans mon lit, abandonné et innocent dans le sommeil. Même tableau qu'avec Edern. J'avais reçu une lettre de lui, m'annonçant son retour d'ici un petit mois. A priori le climat ne lui avait pas réussi, il avait demandé son come back. Que penser, comment réagir face à ça ? Je ne savais si je devais me réjouir de son arrivée prochaine, ou si je devais l'oublier, lui tenir rigueur de ne pas m'avoir envoyé de lettres pendant plus d'un an. Je ne restais pas insensible face à tout ça. Même s'il revenait comme une fleur, l'air de rien. De plus, mon retour à Raleigh approchait et dans mon impatience à retrouver mes repères, je sentais cette petite pointe au cœur que je ne connaissais que trop bien. L'affection. Bientôt six mois que j'étais loin de ma ville natale et que je le fréquentais. Bientôt six mois que je retrouvais goût à la vie en sa présence. Son honnêteté, sa simplicité, sa maturité m'avaient séduite, conquise. Je découvrais à ses côtés des saveurs jusqu'ici inexplorées et qui me faisaient bouillir le sang. Alvaro, bon dieu. « Je te trouve bien pensive. » Le son de sa voix me fit légèrement sursauter avant qu'un léger sourire ne vienne balayer tous mes soucis. Je le rejoignais, m'abandonnant dans ses bras, les yeux fermés. Il n'est rien de plus cruel pour une femme que de voir son cœur déchiré en deux. « Je pensais à mon retour. Dans deux jours. » Le silence. Un silence lourd de sous entendus et de condamnation. Nous connaissions tous les deux les clauses du contrat lors de notre première rencontre. Nous savions que ce serait une histoire à courte terme, avec que peu de chance d'épanouissement. Sa vie était ici. La mienne à Raleigh. Tant de distance mettait un point final à tout espoir de projet commun. Ainsi va la vie. « Je viens avec toi. » La panique, d'abord. L'angoisse de ramener cet étranger dans mon cocon, l'angoisse qu'il fasse parti intégrante de ma vie. Qu'est ce que six mois pour apprendre à connaître une personne ? Rien, quedal. Insuffisant. Je me raidissais, incertaine sur l'aptitude à adopter. Incertaine sur ce que voulait mon cœur. « Ton monde est ici Alvaro, en Andalousie. Je refuse que tu abandonnes tout pour une amourette passagère. » A lui de se raidir et de quitter le lit conjugal. Je savais que je venais de le blesser, je savais qu'il ne me considérait pas comme une passade. Je savais que depuis le décès brutal de sa femme il n'avait retrouvé le sourire qu'à mes côtés. Enfin... Parait-il. Je le rejoignais, collant mon corps contre son dos, mes mains entourant sa taille. « Écoute. Laisses moi rentrer seule. Laisses moi le temps de me retrouver. Laisses nous le temps de nous manquer. Puis on verra. » Il se retourna, planta son regard dans le mien comme pour juger de l'honnêteté de mes paroles. Ce qu'il vit du le rassurer, car son visage s'adoucit et je sentis que son cœur acceptait le deal. Qu'il attendrait, quelque soit le temps.
« Laisses moi t'inviter au restaurant. » Les sourcils haussés, je l'observais comme s'il était fou. « J'te demande pardon ? » Oui, j'avais très bien compris, mais j'étais mauvaise dans ce genre de situation. Très mauvaise. « Viens, je t'invite au restaurant. » J'étais méfiante, je ne voulais pas tomber une nouvelle fois entre les griffes de ce don juan. Mais après tout... Un restaurant tout frais payé n'était pas de refus. Autant en profiter, monsieur invite. Je partais me préparer tant bien que mal, ayant oublié depuis longtemps comment me pouponner. Et puis merde. Il devrait me subir au naturel, je n'avais pas le courage de passer une heure dans la salle de bain. Un jean, un chemisier, j'étais prête. Qui a dit que les femmes étaient coquettes ? M'attendant près de la porte, je perçus un air amusé sur son visage. « Tu n'as pas changé. » Et puis quoi encore ? Il partit chercher ses clés de voiture tandis que j'ouvrais la porte... Sur Alvario. Le choc, la stupeur, l'effroi, un glaçage total et entier de la moindre partie de mon corps. Sctochée, j'étais scotchée. Putain de merde. « Qu'est ce que tu fous là ? » Mon regard s'abaissa sur le bouquet de fleurs et la bouteille de champagne qu'il tenait. C'est un cauchemar, mon dieu réveillez moi. « Je suis vraiment désolé, ça ne faisait pas parti du contrat mais... Je n'y arrivais pas sans toi. J'espère que tu pourras me pardonner. » Tout en me tendant son butin. Tu es dans la merde ma jolie. Je balbutiais deux trois mots inaudibles de remerciement quand la voix d'Edern retentit. « J'ai réservé au the kitchen, c'est mon boss qui m'a... C'est qui ça ? » Tant pis, j'étais dans le pétrin, je venais même de me noyer à l'instant. Les joues enflammées de honte et d'angoisse, je me mordais la lèvre inférieure. « Je... Edern voici Alvario. Alvario, Edern. » Je percevais le duel de regard que les deux étalons se lançaient, me sentant mitraillée de toute part par des millions de fusils à pompe. « Je vois... Quel con. Je ne ferais plus jamais cette erreur. Adieu. » Il s'éloigna, s'enfonça dans la nuit tout en emportant à sa suite une moitié de mon cœur meurtri. J'aurai voulu le retenir, lui courir après comme dans ces films à l'eau de rose, lui dire que j'étais désolée, que je ne pouvais pas vivre sans lui. Mais la moitié de cœur restant me rapprocha d'Edern. Me soufflant qu'avec lui la vie sera plus simple, plus aisée. Que je venais de choisir la stabilité à l'inconnu. La routine à l'excitant. L'amour à la passion.
Dernière édition par MK. Lily Daniels le Mar 20 Nov - 21:17, édité 2 fois |
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× ÂGE : TWENTY-FOUR YO × ACTIVITÉ : CHEF DE FABRICATION × AMOUR : WHAT'S THE FUCK × HABITATION : WAREHOUSE DISTRICT | | Sujet: Re: (M/LIBRE) HUGH JACKMAN Dim 11 Nov - 20:01 | |
| Et il est prêt le minet! Donc, allons-y: prénoms et nom modifiables même si je l'ai appelé autrement dans ma fiche de présentation, ne vous en faites pas. Pour l'avatar, j'ai mis Hugh Jackman puisque l'ayant en tête lors de la création du personnage. Je vous laisse un peu le champ libre puisque l'avatar en lui même m'importe peu. Toutefois je me réserve un tout petit droit de veto, je tiens quand même à ce que le minois en face de moi me fasse bander rêver!  Qualité plus que quantité, je ne demande pas des pavés et des pavés, bien loin de là. Du reste, l'histoire est assez libre (si elle n'est pas compréhensible, n'hésitez pas à m'en informer, je ferais n'importe quoi pour la personne qui choisira mon adorable Alvaro. ), et vous savez à quoi vous vous engagez en prenant un scéna', donc je pense que le plus important est dit ! Sur ce, merci de m'avoir lu futurs amours de ma vie!           |
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