MK. Lily Warhols
+ about × PSEUDO : SUPERMAN × ARRIVÉE : 09/11/2012 × MESSAGES : 43 × AVATAR : K.STEWART × DISCLAIMER : TUMBLR × ÂGE : TWENTY-FOUR YO × ACTIVITÉ : CHEF DE FABRICATION × AMOUR : WHAT'S THE FUCK × HABITATION : WAREHOUSE DISTRICT | Sujet: (M/LIBRE) TAYLOR KITSCH Dim 11 Nov - 19:45 | |
| edern jack daniels
i can’t believe what you said to me right back where we started fromnom entier :: edern jack daniels. + âge :: vingt-huit ans. + date et lieu de naissance :: vingt-deux décembre, Rileigh. + nationalité :: américain. + origines :: américaines. + études/emploi :: chirurgien (spécialité au choix). + situation financière :: aisée. + ville d'habitation :: au choix. + statut amoureux :: en couple. + groupe :: au choix. + avatar :: taylor kitsch. DON'T ASK ME, I'LL NEVER TELLJe n'vous met que les grandes lignes dans lesquelles je verrais bien Edern, puisqu'au fond ça deviendra votre petit protégé. (: J'le verrais bien sûr de lui, confiant en ses atouts (qui sont multiples: bel homme, une situation financière plus qu'aisée) et peut-être même légèrement imbu de sa personne. Un peu vantard en somme, orgueilleux et hautain. Cependant, pour moi, il a beaucoup de qualités. Il est passionné dans tout ce qu'il fait et tout ce qui lui tient à coeur. Il n'hésite pas à faire des sacrifices pour mener à bien une cause qu'il considère comme juste et méritante. Malgré tout cela il considère que ce qui lui a appartenu une fois lui appartient à jamais. Genre possessif, jaloux, bref, comme un étalon qui veille sur ses pouliches. Si vous désirez plus d'infos n'hésitez pas c'est avec grand plaisir. | HISTORY IS MADE AT NIGHTL'histoire est relativement, toutefois je tiens à ce que les quelques points suivants soient respectés : il a fait des études pour être chirurgien, à vous de choisir dans quelle branche. Il est de Raleigh et y a toujours habité. Il a commencé à sortir avec Lily une fois que celle-ci ait terminé ses études, c'est-à-dire vers ses vingt-cinq ans. Après avoir eu son diplôme et un ou deux ans d'expérience il a été envoyé au Japon pour exercer, pendant un peu plus d'un an, ce qui fait que sa relation avec Lily a été rompue. Il est revenue vers elle par la suite, sachant pertinemment qu'elle est la femme qu'il lui faut. Toutefois il estime que son séjour au Japon n'a pas arrêté leur relation, qu'ils sont faits pour être ensemble, c'est pourquoi il ne comprend pas pourquoi elle lui en veut. Pour plus d'informations, direction ma fiche de présentation! | cause it's you and me, and all of the people- Spoiler:
« Lily jolie, j'ai besoin de toi pour mon mémoire, toi qui a une plume si délicate. » Qui me parle? Je traçais ma route comme si ce parasite n'avait jamais existé, peu enclin à engager toute forme de discussion ou d'aide diverse. Même avec ce ton moelleux, ces compliments trouvés dans le premier bureau de tabac du coin. Ce type était une sangsue, le genre de boulet dont une femme arrive difficilement à se défaire pour son plus grand désespoir. Mon, désespoir. Deux ans qu'il me collait au train, ce futur chirurgien de pacotille. Même pas foutu de lier deux mots à la suite pour former une phrase. Gros naze. Je secouais la main comme pour me débarrasser d'un insecte insistant quand il me saisit le bras en me faisant faire volte face. « Écoute moi bien, j'en ai rien à faire de ton mémoire. Donc sois mignon et va mourir ailleurs. » Tournant les talons je reprenais ma marche rapide, désireuse de mettre au plus quelques milliers de kilomètres entre nous deux. C'était sans compter sur son obstination. « C'est pas ce que tu disais la nuit dernière Daniels. » L'enfoiré. Je m'arrêtais lentement, subissant quelques flash back assez gênants. Soupir. Qu'avais-je fais ? « La nuit dernière était une erreur. Comme toutes les précédentes d'ailleurs. » Je percevais son petit sourire de satisfaction avec une violente envie de lui faire bouffer mon sac. Je le détestais, de tout mon être, tout mon cœur. Son assurance, son intelligence, sa vanité, son obstination, son corps de rêve... Tu t'égares ma fille, va-t-en vite. « Lily, tu ne pourras pas m'éviter éternellement. Tu ne peux pas lutter contre l'évidence. » Quelle évidence ? Craignant une discussion virant aux déclarations je fis mine de vomir puis je repris mon chemin. Sans un regard en arrière.
« J'te déteste de me rendre faible à ce point. » Je l'entendis rire alors que je me blottissais un peu plus contre lui. Ouais d'accord, je l'avoue, je suis une bien piètre comédienne. Tout comme j'ai adoré le faire mijoter durant ma dernière année d'étude. Et les deux précédentes. En y réfléchissant, ce grand malade me courait après depuis trois ans. Trois longues années d'échecs permanents, de refoulements constants et d'insultes à longueur de journée. Comment avait-il fait pour survivre à tout ceci? « Je te l'ai dis. On ne peut pas lutter contre l'évidence. » Après une bourrade sur l'épaule je quittais le lit conjugal et enfilais une de ses chemises. J'allumais une cigarette près de la fenêtre, laissant le vent refroidir mon âme et mon cœur. Mes pensées se tournaient vers Dorian, et l'épreuve qu'il subissait en ce moment même en Allemagne. L'idée de l'accompagner ou de le rejoindre ne m'avait pas une seule fois effleuré l'esprit. Il n'aurait pas aimé ça, et moi non plus. En compensation j'avais passé des heures et des heures l'oreille collée contre le téléphone, à n'entendre qu'une respiration saccadée par instant, régulière à d'autre. Je savais qu'il n'attendait rien de plus de ma part, et je savais que je ne pouvais rien lui donner de plus. Alors j'avais attendu, encore et encore. Attendu jusqu'à ce qu'il me dise que tout aillait bien, et qu'il coupe la communication. Perdue dans mes pensées, je sursautais légèrement lorsqu'Edern vint entourer mes épaules de ses bras. Je fermais les yeux quelques secondes, puis jeter le mégot par la fenêtre. « J'dois partir. On s'appelle. » Je ramassais mes affaires et filais vers la sortie, sans un quelconque signe d'affection ou d'intérêt quelconque. A chaque fois je lui faisais le coup, à chaque fois je le plantais là, le laissant en proie à une déception grandiose. Mais dites-moi comment cacher autrement sa peur?
Je n'en revenais de toutes les désillusions que l'on pouvait subir au fil de la vie. J'y croyais, étant jeune. J'y croyais d'une telle force que partout où j'allais, on me regardait avec compassion. Pitié, presque. J'étais loin de réaliser à quel point la vie était... Différente. A quel point rien ne se passe comme dans un conte de fées. A quel point la douleur, la souffrance et le déchirement sont les maîtres mots d'une évolution. J'avais grandi, et avec moi s'était envolé toute innocence. Tous mes espoirs d'antan s'étaient effacés, comme les traces de pas sur le sable disparaissent avec le vent. J'étais devenue plus dure, plus réaliste en somme. Et dire que je pensais retrouver une pudeur, un optimisme à ses côtés... « J'ai eu une promotion... » L'enthousiasme s'empara de moi à ces quelques mots. Oui, j'étais heureuse pour lui, heureuse d'être avec un homme ambitieux et à qui tout réussissait. J'avais été cruelle avec lui et à l'heure d'aujourd'hui, je ressentais les premiers symptômes du regret. Pour la première fois. Je m'en voulais de lui avoir fait subir tout ça, j'en étais au repenti. « … Au Japon. Pour un an, voir deux. Voir plus. » Un monde qui s'écroule. Les illusions qui disparaissent comme des mirages. Comme si rien de tout ceci n'avait existé, il partait. M'abandonnant, moi, comme si notre histoire n'avait été jamais écrite. Je ne trouvais plus les mots pour exprimer ma surprise, mon désarroi, ma frustration, ma douleur, ma colère. Trop de sentiments à la fois qui m'inhibaient toute raison, toute parole. Je cherchais son regard, à la recherche de je ne savais trop quoi. De la tristesse ? De l'indifférence ? Je dégageais mes mains qu'il tenait serrées étroitement, mettant le plus de distance entre nos deux êtres. « Casse-toi alors. Maintenant. » Je le repoussais, refusais le moindre contact avec cet inconnu. La porte se ferma doucement derrière lui, se ferma brutalement sur notre histoire. Fini, tout était fini.
La nuit était déjà tombée depuis quelques heures, mais je ne parvenais pas à trouver le sommeil. Quand j'allais enfin me résoudre à mourir au fond de mon lit, la sonnette retenti. Surprise, intriguée, je mis du temps avant de me sortir du canapé pour aller voir qui s'amenait. Lorsque j'ouvrais la porte, je me retrouvais nez à nez avec... Edern. Je ne fis pas attention aux battements effrénés de mon pauvre cœur, je ne voulais pas me laisser attendrir. « Salut, Lily... Je... Je n'ai nul part où dormir ce soir, alors j'ai pensé... » Les bras croisés contre ma poitrine, j'observais cet homme qui avait partagé ma vie il y a quelques années de cela. Il n'avait pas changé. Peut-être un peu plus mince, les traits tirés. Pas par les remords en tout cas. Mais il restait le même. Bordel. « Et t'as pensé à aller à l'hôtel ? Magnifique idée. » Je claquais la porte derrière moi, peu soucieuse de ce qu'il adviendrait de lui ce soir. S'était-il inquiété de ce que je deviendrais, moi, en m'abandonnant ? Rien à foutre. Je lui rendais la politesse. Je l'entendis sonner une nouvelle fois mais n'aurais été ouvrir pour rien au monde. Guettant l'éloignement de ses pas, il n'en fut rien. Sur la pointe des pieds j'allais observer par le trou de la serrure pour le voir assis sur les escaliers, comme attendant quelque chose. Je me secouais, me violentais moralement allant jusqu'à me donner des claques, mais mon cœur de femme ne put se résoudre à le laisser dehors. J'ouvrais la porte, comme à regret. « Rentres. Et va te faire voir Edern. »
Ouais d'accord, je suis faible. Plus de deux semaines que ce parasite créchait à la maison. Je n'avais vraiment aucune fierté... Il faut dire qu'entre le ménage, la cuisine, les réparations quelconques, je n'avais pas de soucis à me faire. Il s'occupait de tout. Je l'avais rarement vu aussi investi, impliqué et ardent. Quoiqu'il en soit, deux semaines qu'il dormait sur le canapé. Bien que mes sens s'emballent en sa présence, il partageait dorénavant mon cœur avec Alvaro. Alvaro... Oui, il me manquait. Terriblement. Et je me sentais mal vis à vis de lui avec Edern sous mon toit vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Je me disais parfois que c'était une bonne chose qu'il habite aussi loin, qu'ainsi j'évitais toute visite inattendue. Tout malaise, toute explication désarmante sur le pourquoi du comment. Comme si j'avais besoin de ça en plus en ce moment ! « Laisses moi t'inviter au restaurant. » Les sourcils haussés, je l'observais comme s'il était fou. « J'te demande pardon ? » Oui, j'avais très bien compris, mais j'étais mauvaise dans ce genre de situation. Très mauvaise. « Viens, je t'invite au restaurant. » J'étais méfiante, je ne voulais pas tomber une nouvelle fois entre les griffes de ce don juan. Mais après tout... Un restaurant tout frais payé n'était pas de refus. Autant en profiter, monsieur invite. Je partais me préparer tant bien que mal, ayant oublié depuis longtemps comment me pouponner. Et puis merde. Il devrait me subir au naturel, je n'avais pas le courage de passer une heure dans la salle de bain. Un jean, un chemisier, j'étais prête. Qui a dit que les femmes étaient coquettes ? M'attendant près de la porte, je perçus un air amusé sur son visage. « Tu n'as pas changé. » Et puis quoi encore ? Il partit chercher ses clés de voiture tandis que j'ouvrais la porte... Sur Alvario. Le choc, la stupeur, l'effroi, un glaçage total et entier de la moindre partie de mon corps. Sctochée, j'étais scotchée. Putain de merde. « Qu'est ce que tu fous là ? » Mon regard s'abaissa sur le bouquet de fleurs et la bouteille de champagne qu'il tenait. C'est un cauchemar, mon dieu réveillez moi. « Je suis vraiment désolé, ça ne faisait pas parti du contrat mais... Je n'y arrivais pas sans toi. J'espère que tu pourras me pardonner. » Tout en me tendant son butin. Tu es dans la merde ma jolie. Je balbutiais deux trois mots inaudibles de remerciement quand la voix d'Edern retentit. « J'ai réservé au the kitchen, c'est mon boss qui m'a... C'est qui ça ? » Tant pis, j'étais dans le pétrin, je venais même de me noyer à l'instant. Les joues enflammées de honte et d'angoisse, je me mordais la lèvre inférieure. « Je... Edern voici Alvario. Alvario, Edern. » Je percevais le duel de regard que les deux étalons se lançaient, me sentant mitraillée de toute part par des millions de fusils à pompe. « Je vois... Quel con. Je ne ferais plus jamais cette erreur. Adieu. » Il s'éloigna, s'enfonça dans la nuit tout en emportant à sa suite une moitié de mon cœur meurtri. J'aurai voulu le retenir, lui courir après comme dans ces films à l'eau de rose, lui dire que j'étais désolée, que je ne pouvais pas vivre sans lui. Mais la moitié de cœur restant me rapprocha d'Edern. Me soufflant qu'avec lui la vie sera plus simple, plus aisée. Que je venais de choisir la stabilité à l'inconnu. La routine à l'excitant.
Dernière édition par MK. Lily Daniels le Mar 20 Nov - 21:12, édité 5 fois |
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| N'est-il pas chou mon Loulou? Donc, allons-y: prénoms et nom modifiables même si je l'ai appelé autrement dans ma fiche de présentation, ne vous en faites pas. Pour l'avatar, j'ai mis Taylor Kitsch puisque l'ayant en tête lors de la création du personnage. Je vous laisse un peu le champ libre puisque l'avatar en lui même m'importe peu. Toutefois je me réserve un tout petit droit de veto, je tiens quand même à ce que le minois en face de moi me fasse bander rêver! Qualité plus que quantité, je ne demande pas des pavés et des pavés, bien loin de là. Du reste, l'histoire est assez libre (si elle n'est pas compréhensible, n'hésitez pas à m'en informer, je ferais n'importe quoi pour la personne qui choisira mon splendide Edern. ), et vous savez à quoi vous vous engagez en prenant un scéna', donc je pense que le plus important est dit ! Sur ce, merci de m'avoir lu futurs amours de ma vie! |
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